Un expert de l'ONU sur les droits humains en Haïti a appelé mardi les États-Unis et d'autres pays à ne pas expulser les Haïtiens vers leur pays ravagé par la violence des gangs, estimant qu'un retour "sûr" ne pouvait être assuré.
La République dominicaine a annoncé dimanche des mesures de surveillance "plus strictes" et l'augmentation des opérations policières à sa frontière avec Haïti pour tenter de freiner la migration illégale en provenance de ce pays, ravagé par la violence des gangs.
L'ONU a lancé jeudi un appel aux dons de plus de 900 millions de dollars pour aider 3,9 millions de personnes en 2025 en Haïti, pays ravagé par la violence des gangs où près de la moitié de la population subit une insécurité alimentaire aiguë.
Donald Trump a dit mercredi entrevoir un "cessez-le-feu" en Ukraine "dans un futur pas si lointain" et jugé qu'une adhésion de Kiev à l'Otan ne serait pas "réaliste", peu après s'être entretenu avec ses homologues russe et ukrainien.
Donald Trump a signé mardi un décret exécutif visant à retirer les Etats-Unis de plusieurs instances de l'ONU et à passer en revue le financement par Washington de l'organisation internationale siégeant à New York.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré mardi être prêt à des négociations directes avec son homologue russe Vladimir Poutine et d'autres dirigeants pour mettre fin à la guerre lancée par le Kremlin il y a bientôt trois ans.
Le secrétaire d'État américain Marco Rubio a apporté mardi au Costa Rica, nouvelle étape de son premier déplacement à l'étranger, le "franc soutien" des Etats-Unis pour s'être opposé au "chantage", selon lui, de la Chine.
Le secrétaire d'État des États-Unis, Marco Rubio, a accusé mardi les gouvernements du Nicaragua, du Venezuela et de Cuba d'être des "ennemis de l'humanité" et de provoquer la crise migratoire dans la région.
Les Etats-Unis ont demandé aux Nations unies le gel immédiat de leur contribution au fonds destiné à financer la mission multinationale chargée d'aider la police haïtienne contre les gangs, déjà sous-financée, a annoncé un porte-parole de l'ONU mardi.
Abou Mohammad al-Jolani, le chef islamiste de la coalition rebelle à l'origine d'une offensive fulgurante en Syrie qui a provoqué selon ses combattants la chute dimanche du président Bachar al-Assad, est passé d'un vocabulaire fondamentaliste à une parole qui se veut modérée pour parvenir à ses fins.