« Je ne crois pas que la communauté internationale va discuter avec des bandits, a analysé Ashley Laraque. Il y a eu cette tentative de les classer comme des terroristes, une manière de leur accorder un certain crédit. Car les terroristes, en général, sont porteurs d’une revendication politique. Vu les crimes que ces bandits ont commis, je ne crois pas qu’ils soient en mesure de faire des réclamations ou à provoquer des discussions », a poursuivi M.
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