Je ne viendrai pas ce soir
tisser au fil de ton regard
des heures d'abandon
de tendresse
d'amour.
Des camarades de bronze
ont convié ma jeunesse
à l'assaut de cette citadelle
qui s'écroule.
Je ne viendrai pas
noyer ma tristesse
dans le flot tumultueux
de tes cheveux d'ébène
une étoile de pourpre luit à l'horizon.
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous